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  • Jean-Marie Le Pen, le leader du Front national, a réaffirmé mercredi devant le Parlement européen que c'était une "évidence" que les chambres à gaz étaient un "détail" de l'histoire de la Seconde guerre mondiale. La Ligue française contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA) envisage de demander des poursuites.

    "Je me suis borné à dire que les chambres à gaz étaient un détail de l'Histoire de la guerre mondiale, ce qui est une évidence", sous les huées d'une écrasante majorité de l'hémicycle, Jean-Marie Le Pen a réitéré ses propos controversés, au Parlement européen, ce mercredi.

    Première conséquence: les principales forces politiques du Parlement européen ont annoncé qu'elles allaient empêcher le leader d'extrême droite français Jean-Marie Le Pen de présider en tant que doyen leur prochaine session inaugurale, ce qui était pourtant prévu par le protocole.

    La Ligue française contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA) envisage de demander des poursuites contre le leader d'extrême droite Jean-Marie Le Pen après sa nouvelle sortie. Souhaitant que Jean-Marie Le Pen "soit condamné comme il le fut par le passé à la suite des poursuites engagées par la LICRA", Patrick Gaubert a annoncé qu'il allait consulter "la commission juridique de la LICRA afin d'envisager les poursuites judiciaires qui s'imposent".

    Jean-Marie Le Pen a déjà été condamné en France pour avoir tenu des propos similaires sur les chambres à gaz. En septembre 1987, c'est sur une radio que le leader de l'extrême-droite avait dit cela pour la première fois, ce qui lui avait valu une condamnation à 1,2 million de francs (183.200 euros) d'amende. En 2005, il les avait répétés, puis de nouveau en 2008 dans le magazine "Bretons".

     

    VIVE LE PEN

    LA LICRA AUX CHIOTTES!!!


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